La Vodka Martini, ou Vodkatini, « au shaker, pas à la cuillère » c’est le cocktail préféré de James Bond, apparu en 1953, dans l’oeuvre de son auteur, de Ian Flemming. La scène où l’agent secret ou le barman précise « Shaken, not stirred » apparait dans tous les films et est désormais devenue aussi culte que « Bond, mon nom est James Bond ».
Au moment où sort le nouvel opus « Mourir peut attendre », maintes fois repoussé pour cause de covid, j’ai eu envie de publier ce cocktail à déguster, avec modération, avant ou après la séance ou devant une des multiples rediffusions de la saga.
Si vous n’avez pas de shaker, ne vous précipitez pas pour en acheter un, utilisez un bocal, une bouteille ou une boîte qui ferme hermétiquement, ça sera moins sexy mais le résultat tout aussi bon. En revanche, le format de verre reste important, c’est le format traditionnel pour les cocktail à base de vermouth ; le verre à moutarde décor Obélix sera également moins sexy.
Certains pourraient être tentés d’ajouter des olives vertes, mais il n’y en a jamais dans cette version du cocktail, en revanche, souvent un zeste de citron (bio).
Les quantités indiquées sont pour un seul cocktail ou deux petits.
Pensez à mettre la vodka au congélateur et le Martini au frigo quelques heures avant. Je mets aussi le verre au frigo.
LA LISTE :
6 cl de Vodka
1 cl de Martini Blanc
1 glaçon (facultatif)
ON COMMENCE :
Mettre les ingrédients dans le shaker, secouez vigoureusement, versez dans le verre.
Servez sans plus attendre et dégustez sur un air de Goldfinger ; effectivement, « Mourir peut attendre ».
